L’espace s’étendait à l’infini, silencieux et intrépide. La station Eurydice dérivait délicatement aux confins d’un schéma oublié, entourée par un cercle d’étoiles mortes. À bout, Alma Severin observa
Les écrans de la station Eurydice pulsaient d’une éclaircissement froide, projetant sur les murs métalliques des ombrages mouvantes. Alma Severin scrutait les relevés astronomiques avec une puissance fébrile, recherchant à pénétrer ce qui
anne-clara ouvrit délicatement les yeux, une impression de douceur l’enveloppant tandis que les mieux rayons du soleil filtraient via ses rideaux. Depuis qu’elle avait déclaré jolie voyance, ses matinées lui semblaient plus lumineuses, tels que si une part